Trois chefs... opérateurs, pour cuisiner l'image du film
Avec une combinaison de lumières plus esthétisante que réaliste, nous voulions que limage de La Vieille qui roulait au super nous plonge de facto dans lunivers du conte...
Des teintes légèrement saturées, une dominante chaude, tirant entre le jaune et lorangé, deux références cinématographiques directes (Amélie Poulain, Edward aux mains dargent) et plusieurs clins dil (comme la série Santa Barbara)
voilà quelques ingrédients de la recette !
Preuve de limportance accordée à ce chapitre, après vous avoir présenté Richard Vandal, notre steadycamer, voici dans une seule et même partition, un gros coup de projecteur sur les trois chefs
opérateurs qui ont orchestré limage et les lumières du film.
Dabord gros plan sur Nathalie Lao, qui faisait partie du noyau de l'équipe, à la naissance de La Vieille qui roulait au super...
Ensuite, zoom arrière sur Arnaud Saint Martin de Veyran, le directeur de la photographie du film.
Enfin, plan serré sur Arnaud Bauzon, qui réalisa les plans effets spéciaux tournés à l'EESA, avec Thierry Lhermitte.
Nous avons choisi de tourner le film sur un support DV CAM, avec une caméra Sony DSR 570 en 16/9e. Et nous revendiquons haut et fort le choix du numérique : non seulement la vidéo professionnelle rend de très belles images mais elle facilite aussi les effets spéciaux. Sans même parler du budget qui aurait été nécessaire pour acheter la pellicule
Un kinescopage est normalement prévu après l'étalonnage numérique. Si l'on veut faire tourner le film à la fois en festivals et en distribution classique, il sera indispensable d'en tirer des copies sur format argentique. Ayant déjà dépassé (et de loin !) le budget prévisionnel, nous lançons dès maintenant un appel aux dons... il paraît que les mécènes, ça existe